Paysagiste Concepteur Paris – Jardins Artistiques, Patrimoniaux et Écologiques

Paysagiste concepteur à Paris : un métier entre patrimoine, art et écologie

Jardin patrimonial à Paris conçu par Simonson Landscape, illustrant le lien entre art, écologie et patrimoine paysager

Simonson Landscape tisse un lien entre création artistique, mémoire et durabilité écologique, au cœur du patrimoine franco-américain. Photo ©yannmonel

 

À Paris et en Île-de-France, le rôle du paysagiste concepteur va bien au-delà du simple aménagement d’espaces verts. C’est une profession reconnue par l’État, qui associe savoir-faire artistique, expertise technique et engagement écologique. La France compte plus de 2 600 jardins protégés au titre des Monuments Historiques, témoins de la diversité et de la richesse de notre patrimoine paysager. Chez Simonson Landscape, nous concevons des jardins comme de véritables œuvres vivantes : des espaces qui racontent une histoire, valorisent un patrimoine et s’adaptent aux enjeux climatiques actuels. Le Jardin de la Paix Americain, réalisé sans irrigation, en gravier et avec des matériaux locaux, illustre cette démarche. À travers ce projet, nous montrons comment un paysagiste concepteur à Paris peut créer des jardins à la fois historiques, poétiques et durables.

 

Le rôle du paysagiste concepteur à Paris : une approche fondée sur le site, la mémoire et la composition

Étude de site et composition paysagère contemporaine par Simonson Landscape à Paris, inspirée de la mémoire des lieux

L’approche du paysagiste concepteur repose sur l’observation du site, la mémoire et la composition sensible du paysage. Ici, Stachys byzantina ‘Silver Carpet’ et la variété ‘Big Ears’ partent en quête de lumière. Photo ©yannmonel

 

Le paysagiste concepteur occupe une position essentielle dans la maîtrise d’œuvre en paysage, reconnue officiellement par le Ministère de la Culture depuis 2016. Sa mission est de concevoir, planifier et diriger des projets de paysage en tenant compte à la fois du génie du lieu, de la mémoire des sites, et des enjeux contemporains de durabilité.

Son rôle dépasse largement la simple création décorative : il interprète les paysages, articule le vivant avec le bâti, et s’assure que chaque projet s’insère harmonieusement dans le territoire.

Une lecture approfondie du site et du paysage

Avant tout acte de conception, le paysagiste concepteur réalise une lecture de site : relief, sols, hydrologie, végétation, trame bâtie, orientation, microclimat et vues lointaines. Cette approche, soutenue par les DRAC et la Charte nationale pour la qualité des paysages, repose sur la compréhension fine du contexte et la capacité à identifier les vues et séquences paysagères qui composent le caractère d’un lieu.

Il observe les vuesheds, les alignements historiques, les points de fuite et les transitions entre espaces naturels et bâtis. Cette analyse permet de construire des projets respectueux de la perception du paysage, de son histoire et de ses usages.

 

Respect des sites classés et du patrimoine historique

Dans un contexte patrimonial, notamment sur un site classé ou inscrit, le paysagiste concepteur veille à la compatibilité du projet avec les valeurs du lieu. Il collabore avec les Architectes des Bâtiments de France (ABF) et les services du patrimoine pour :

  • préserver les vues et perspectives protégées,

  • restaurer les structures végétales historiques,

  • revaloriser les tracés, allées et plans d’eau d’origine,

  • intégrer les nouveaux usages dans le respect du site.

Le Jardin de la Paix – Terres de Promesses illustre bien cette exigence. Conçu sur le terrain du Monument-Ossuaire de la Ferme de Navarin, le projet s’est développé sans toucher au sol existant, car celui-ci est chargé d’histoire et présente une toxicité liée aux anciens combats. Des restes humains et munitions enfouies pouvaient encore s’y trouver, imposant une approche d’une grande délicatesse technique et symbolique. Le jardin a donc été imaginé en surface, comme une strate poétique et végétale venant dialoguer avec le sol de mémoire, sans jamais le perturber.

Cette contrainte, loin d’être une limite, a inspiré une conception sobre et respectueuse, où la matière végétale devient un langage de réconciliation entre le paysage, l’histoire et le vivant. Cette approche permet de réconcilier patrimoine et écologie, dans la continuité des politiques culturelles françaises autour des jardins et paysages historiques.

 
Vue du Jardin de la Paix – Terres de Promesses, conçu par Simonson Landscape sur le site historique de la Ferme de Navarin. Les visiteurs traversent symboliquement la “tranchée de paix”, entourée de vivaces écologiques et de grès rose local.

Conçu sur le site du Monument-Ossuaire de la Ferme de Navarin, le Jardin de la Paix évoque les anciennes tranchées de la guerre 14-18 transformées en un lieu de mémoire et de réconciliation. Les bancs en grès rose et les massifs de plantes résistantes à la sécheresse symbolisent la renaissance du vivant sur un sol marqué par l’histoire. Photo ©yannmonel

 

Insertion paysagère et composition contemporaine

Le paysagiste concepteur agit comme un compositeur de l’espace. À travers le dessin, la topographie, la matière et la lumière, il crée une insertion paysagère cohérente et sensible. À Paris, cette démarche s’applique aussi bien à la restauration d’un jardin haussmannien qu’à la création d’une terrasse contemporaine inspirée des formes patrimoniales.

Étude d’insertion paysagère réalisée pour le Jardin de la Paix à la Ferme de Navarin. Le schéma présente les phases de conception du projet, depuis la lecture du site jusqu’à la mise en place des talus végétalisés. Cette approche illustre le rôle du paysagiste concepteur comme compositeur d’espaces et interprète du territoire.

 

Dans le Jardin de la Paix, cette approche a guidé la conception du parcours. Nous avons réfléchi à la séquence et à la découverte progressive du jardin, afin de mettre en valeur le site et ses vues lointaines sur l’horizon. La circulation, depuis le parking jusqu’aux chemins et points d’arrêt, participe à la lecture du lieu sur plusieurs niveaux, offrant une expérience à la fois contemplative et mémorielle.

Cette notion d’insertion dans le site demeure au cœur des démarches du Conseil National du Paysage et des appels à projets soutenus par les institutions culturelles françaises.

 
 

Une responsabilité écologique et culturelle

Le paysagiste concepteur ne se limite pas à dessiner, il interprète. Ses choix botaniques, topographiques et matériels participent à la résilience du site : gestion de l’eau, adaptation au changement climatique, valorisation des matériaux locaux.

Dans ce projet, nous avons choisi d’utiliser des roches locales issues de la carrière Loegel-Rothbach, un grès rose brut en harmonie avec l’architecture du monument. Cette pierre, à la fois minérale et chaleureuse, renforce le lien entre le jardin et son territoire. La palette végétale a été composée de plantes indigènes et résistantes à la sécheresse, favorisant un écosystème sobre et durable.

Mais le paysagiste concepteur agit aussi comme gardien de la mémoire immatérielle : celle des gestes, des textures et des ambiances végétales. Chaque projet devient ainsi un lieu où culture, nature et perception s’équilibrent dans le temps.
Cette réflexion sur la mémoire du paysage et la transmission du vivant a été abordée dans notre entretien avec France Culture, consacré à la place du paysage dans le patrimoine contemporain.

Ces principes se traduisent concrètement dans nos réalisations, comme au Jardin de la Paix – Terres de Promesses, où l’approche du paysagiste concepteur s’exprime pleinement à travers la mémoire du lieu et une composition écologique durable.




Paysagiste concepteur, architecte paysagiste, landscape designer, jardinier : quelles différences en France

Grès rose et plantes locales utilisés par Simonson Landscape dans un aménagement écologique et patrimonial

Utilisation de roches locales issues de la Carrière Loegel-Rothbachpour un dialogue durable entre matière et territoire. Bloc de pierre rose - grès des vosges de Rothbach. Photo ©yannmonel

 

Les métiers du paysage partagent un objectif commun – créer du lien entre l’homme et la nature – mais leur cadre d’exercice et leur statut diffèrent selon les pays. En France, certaines appellations sont strictement encadrées par la loi, tandis que d’autres restent libres d’usage. Comprendre ces distinctions permet de mieux situer le rôle du paysagiste concepteur, particulièrement à Paris où se mêlent héritage historique, tissu urbain et écologie contemporaine.

Architecte d'extérieur

Le mot architecte est un titre protégé par la loi du 3 janvier 1977, réservé aux professionnels inscrits à l’Ordre des Architectes. L’utiliser sans autorisation constitue une infraction. Cela inclut les dérivés comme « architecte paysagiste » ou « architecte de jardin », sauf si la personne détient une double qualification et figure à l’Ordre.

Paysagiste concepteur

Depuis 2016, le titre de paysagiste concepteur est reconnu par l’État et défini par le décret du 28 décembre 2017. Il correspond à un professionnel capable de concevoir des projets à toutes les échelles – du jardin historique au site patrimonial, jusqu’aux espaces publics contemporains. Le paysagiste concepteur réalise des études, plans de composition, diagnostics écologiques, et peut assurer la maîtrise d’œuvre complète d’un projet. Son rôle s’inscrit dans la continuité des traditions du paysage français, tout en intégrant les enjeux du climat et de la biodiversité. La profession est représentée par la Fédération Française du Paysage (FFP), membre de l’International Federation of Landscape Architects (IFLA), garantissant une reconnaissance internationale de la discipline.

Architecte paysagiste

L’expression architecte paysagiste est très répandue à l’étranger, notamment dans les pays anglo-saxons, mais n’a pas de statut officiel en France. Parce qu’elle contient le mot architecte, son usage est restreint par la loi. En pratique, elle peut être source de confusion, et il est préférable d’utiliser les termes paysagiste concepteur ou paysagiste dans un cadre professionnel français. À l’international, ce terme correspond au métier de landscape architect, représenté par des institutions comme l’American Society of Landscape Architects (ASLA) ou l’IFLA Europe, qui promeuvent des standards de compétence proches du cadre français.

Landscape designer

Le terme landscape designer est un usage plus libre, courant dans les pays anglo-saxons. Il désigne un créateur d’espaces extérieurs centré sur la composition esthétique et végétale. La Society of Garden & Landscape Designers (SGLD) illustre ce type d’organisation, regroupant des professionnels œuvrant dans des contextes variés – jardins privés, cours urbaines, parcs historiques ou domaines publics. En France, le titre n’a pas de reconnaissance légale, mais il peut compléter une approche plus artistique et décorative du paysage, notamment pour les jardins d’inspiration patrimoniale ou contemporaine.

Jardinier

Le jardinier est le gardien du paysage. Il entretient, taille, arrose, plante, veille à la santé du sol et à la pérennité des végétaux. Si son rôle est essentiel à la vie du jardin, il intervient après la phase de conception, en assurant la continuité du projet dans le temps – une relation directe entre conception et transmission du patrimoine vivant.

En résumé :

  • Architecte → titre protégé réservé aux membres de l’Ordre.

  • Paysagiste concepteur → titre reconnu par l’État, garantissant une approche artistique, technique et écologique.

  • Architecte paysagiste → terme international non reconnu juridiquement en France.

  • Landscape designer → titre libre, centré sur la création végétale et l’esthétique.

  • Jardinier → professionnel de l’entretien et de la transmission du patrimoine végétal.

Le paysagiste concepteur occupe une place singulière : il est le trait d’union entre l’art, la technique, le patrimoine et la nature, capable d’imaginer des jardins qui respectent l’histoire tout en anticipant les enjeux climatiques du futur.

 

Les Jardins de la Paix : un parcours paysager et mémoriel international

Comparaison entre paysagiste concepteur, architecte paysagiste, landscape designer et jardinier en France

Ces métiers du paysage partagent un objectif commun : créer du lien entre l’homme, la nature et le patrimoine. Le paysagiste David Simonson en visite pour le sourcing des pierres en carrière.

 

Le projet des Jardins de la Paix s’inscrit dans une initiative d’envergure portée par Art & Jardins | Hauts-de-France, en partenariat avec la Mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale et le Ministère des Armées. Cette démarche vise à transformer les sites emblématiques de la Grande Guerre en une route paysagère et artistique dédiée à la paix.

Depuis 2018, plus de 20 jardins ont vu le jour dans les régions des Hauts-de-France, de la Belgique et du Grand Est, sur des lieux de mémoire majeurs tels que Vimy, Thiepval, Notre-Dame-de-Lorette, Le Quesnoy, Péronne ou encore la clairière de l’Armistice à Compiègne. Chaque jardin, conçu par des équipes de paysagistes et d’architectes issus des anciennes nations en guerre, réinterprète ces sites historiques à travers une approche contemporaine et sensible.

Ces jardins invitent à une réflexion sur la mémoire, la réconciliation et la paix, tout en proposant une lecture paysagère et poétique du territoire. Ils offrent des espaces de recueillement, de repos et de dialogue entre les générations.

Le Jardin de la Paix – Terres de Promesses, conçu par Simonson Landscape pour le site de la Ferme de Navarin, s’inscrit dans cette continuité. Il fait partie de cette route mémorielle européenne qui relie la Belgique à l’Alsace, formant un ensemble d’environ quarante jardins commémoratifs prévus d’ici 2024. Ce projet illustre la volonté commune de reconstruire à travers le paysage, en reliant l’art, l’histoire et la nature.

 
 

L’exemple du Jardin de la Paix – Entre mémoire et écologie

Vue du Jardin de la Paix – Terres de Promesses conçu par Simonson Landscape pour Art & Jardins Hauts-de-France

La danse estivale d’un jardin en pleine floraison. Un espace résistant à la sécheresse, sans arrosage, bien ancré deux ans après sa plantation. Achillea crithmifolia. Photo ©yannmonel

 

Le Jardin de la Paix – Terres de Promesses a été conçu au sein du Monument Historique de la Ferme de Navarin, lieu de mémoire marqué par la Première Guerre mondiale. Hier terrain d’affrontements, aujourd’hui espace de recueillement, ce site incarne le lien entre la France et les États-Unis, fondé sur des valeurs communes de tolérance et de liberté.

Un projet artistique et symbolique

Inspiré des traces laissées par la guerre sur le paysage, le jardin reprend la symbolique de la ligne de front : des talus séparés par des dalles de pierre formant des “traits d’union”. Le visiteur peut circuler entre ces espaces et retrouver une perspective ouverte, là où la tranchée offrait autrefois un horizon fermé.

Une écologie résiliente et durable

Le jardin associe des plantes d’Europe et des États-Unis, toutes tolérantes aux conditions sèches du site. Sans irrigation, avec un sol en gravier et des matériaux locaux, il illustre une double démarche :

  • un modèle écologique durable, adapté au changement climatique,

  • et une métaphore vivante de la cohabitation et de l’entente entre communautés.

Le Jardin de la Paix démontre qu’un paysagiste concepteur à Paris peut créer des espaces à la fois historiques, poétiques et durables.

 

Le patrimoine paysager français : un héritage vivant et une source d’inspiration pour les concepteurs contemporains

Jardin historique en France illustrant la diversité du patrimoine paysager français et son influence contemporaine

La France offre une richesse exceptionnelle de styles et de paysages, source d’inspiration pour les paysagistes concepteurs contemporains. Au sommet du Monument de Navarin, les statues de Mangin, Gouraud et Castelnau veillent sur ces terres de mémoire, rappelant le lien entre histoire, art et paysage d’après guerre. Photo ©yannmonel

 

Une histoire du paysage inscrite dans le temps long

La France occupe une place unique dans l’histoire mondiale du paysage. Depuis les jardins monastiques médiévaux jusqu’aux créations écologiques contemporaines, son territoire a toujours été un laboratoire d’idées et d’esthétiques, où la nature devient un art et un langage. Les jardins de Le Nôtre, les parcs pittoresques du XIXᵉ siècle, ou encore les jardins secs du sud de la France témoignent d’une culture du paysage qui ne cesse d’évoluer avec le climat et la société.

Le rôle du paysagiste concepteur dans la continuité patrimoniale

Cette tradition place le paysagiste concepteur dans une lignée historique exigeante : celle d’un métier où l’on compose avec le sol, la lumière, la mémoire et le vivant. À Paris comme dans les régions, le rôle du concepteur n’est plus seulement esthétique : il devient écologique et culturel, en créant des espaces qui réconcilient patrimoine et modernité. Le paysagiste concepteur à Paris agit à la croisée de l’histoire et de l’innovation : il s’inspire des grands styles paysagers tout en intégrant les enjeux contemporains de biodiversité, d’adaptation climatique et de sobriété hydrique.

De la mémoire à la création : l’exemple du Jardin de la Paix

Chez Simonson Landscape, cette vision se traduit dans des projets comme le Jardin de la Paix – Terres de Promesses, conçu sur un site classé où l’intervention a été pensée sans terrassement, dans le respect du sol historique et de sa mémoire. Ce projet incarne la continuité du patrimoine paysager français, capable d’unir art, histoire et écologie dans une même écriture sensible, rendant hommage à l’histoire du lieu tout en dialoguant avec sa mémoire.

 

Le paysagiste concepteur, entre durabilité et transmission du patrimoine

Aménagement paysager durable conçu par Simonson Landscape, associant matériaux locaux et plantations xérophytes

Conception durable, écologique et poétique, où le choix des matériaux et des plantes prolonge l’histoire du site. Jardin sec, bien fleuri, adapté aux conditions estivales sans arrosage, en milieu rural. Photo ©yannmonel

 

Concevoir un jardin durable, c’est prolonger une histoire. À travers la gestion de l’eau, le choix des plantes et l’utilisation de matériaux locaux, chaque projet devient un acte de mémoire et d’innovation. La faille écologique de notre histoire récente représente une catastrophe pour notre planète. Les sites historiques sont souvent les témoins d’un paysage de bon sens, façonné par des matières nobles et durables. Aujourd’hui, le rôle du paysagiste ne se limite pas à la restauration des jardins historiques, mais consiste à traduire leur héritage à travers les matériaux, les choix de plantes et le bien-être des usagers, en dessinant des espaces connectés à leur environnement.

Jardins secs et sobriété hydrique

Chez Simonson Landscape, cette approche se traduit par des jardins secs conçus sans irrigation, dits xérophytes, utilisant grès, pierre ou matériaux recyclés, conformément aux recommandations de l’ADEME sur les matériaux durables. Ces matériaux, associés à une végétation adaptée, permettent de concilier esthétique, écologie et sobriété en eau. Les plantations respectent les saisons de pluie afin de favoriser l’enracinement dans des conditions parfois extrêmes. Leur cohabitation devient essentielle, et le bon geste du jardinier est primordial durant les premières années, lorsque les plantes pionnières cherchent à s’établir et à gagner du terrain.

Durabilité culturelle et poétique

Mais la durabilité n’est pas qu’une question technique. Elle engage une réflexion culturelle et poétique sur la place du paysage dans la société contemporaine. En restaurant un jardin classé ou en concevant un espace contemporain sur un site historique, le paysagiste concepteur agit comme un passeur de mémoire, reliant les gestes d’hier aux enjeux écologiques d’aujourd’hui.

Un projet emblématique : le Jardin de la Paix – Terres de Promesses

Le Jardin de la Paix – Terres de Promesses illustre pleinement cette vision. Conçu sur un Monument Historique, il témoigne d’un dialogue entre la France et les États-Unis, entre mémoire du sol et création contemporaine. Ce projet démontre comment l’art du paysage peut réconcilier histoire, écologie et symbolique collective, en inscrivant le vivant au cœur du patrimoine, dans la continuité des paysages culturels et historiques en France.

Une philosophie de projet ancrée dans le territoire

Cette philosophie guide l’ensemble de nos projets, à Paris et ailleurs : restaurer un jardin haussmannien, requalifier un site patrimonial ou créer une terrasse contemporaine inspirée de l’architecture du lieu. Chaque intervention vise à construire un espace durable et habité, dans l’esprit de nos Éco-jardins, capables de dialoguer avec le passé tout en préparant l’avenir. C’est cette alliance entre patrimoine, art et écologie qui définit notre travail et notre engagement.

 

Contactez un paysagiste concepteur à Paris pour votre projet de jardin

Contactez Simonson Landscape, paysagiste concepteur à Paris pour la création de jardins artistiques et écologiques

Simonson Landscape accompagne particuliers, institutions et professionnels dans la conception de jardins durables à Paris et en Île-de-France. Voici un jardin généreusement planté de vivaces écologiques et de fleurs pollinisatrices, adapté au milieu rural. Photo ©yannmonel

 

Vous souhaitez restaurer un jardin historique, aménager une terrasse parisienne ou créer un projet écologique durable ? Simonson Landscape vous accompagne, que vous soyez un particulier, une institution publique ou un professionnel.


 
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